TRENTEMOULT
Ancien village de pêcheurs aux maisons colorées , sur la rive gauche de la Loire à Rezé Loire Atlantique.
Un peu de tout sur rien ,un peu de rien sur tout .Partage de longues promenades ou de petites balades dans nos belles contrées, coups de cœur, gastronomie , spécialités du terroir Ligérien , mais pas que .Culture régionale mais pas que , exposition, photos, Street art; Nature mais aussi agglomération .Un petit fourre- tout de ce qui fait notre pays et de ce qui nous fait .
TRENTEMOULT
Ancien village de pêcheurs aux maisons colorées , sur la rive gauche de la Loire à Rezé Loire Atlantique.
La halle de la Madeleine est un ancien relais de poste patrimonial du centre-ville de Nantes datant du xixe siècle1 ; elle est située dans l'impasse Juton, qui ouvre sur la chaussée de la Madeleine. |
Un Vieillard prêt d'aller où la mort l'appelait :
Mes chers enfants, dit-il (à ses Fils il parlait),
Voyez si vous romprez ces dards liés ensemble ;
Je vous expliquerai le nœud qui les assemble.
L'Aîné les ayant pris et fait tous ses efforts,
Les rendit, en disant : Je le donne aux plus forts.
Un second lui succède, et se met en posture,
Mais en vain. Un Cadet tente aussi l'aventure.
Tous perdirent leur temps, le faisceau résista :
De ces dards joints ensemble un seul ne s'éclata.
Faibles gens ! dit le père, il faut que je vous montre
Ce que ma force peut en semblable rencontre.
On crut qu'il se moquait, on sourit, mais à tort.
Il sépare les dards, et les rompt sans effort.
Vous voyez, reprit-il, l'effet de la concorde.
Soyez joints, mes Enfants, que l'amour vous accorde.
Tant que dura son mal, il n'eut autre discours.
Enfin, se sentant prêt de terminer ses jours :
Mes chers Enfants, dit-il, je vais où sont nos pères.
Adieu, promettez-moi de vivre comme Frères ;
Que j'obtienne de vous cette grâce en mourant.
Chacun de ses trois Fils l'en assure en pleurant.
Il prend à tous les mains ; il meurt ; et les trois Frères
Trouvent un bien fort grand, mais fort mêlé d'affaires .
Un Créancier saisit, un Voisin fait procès :
D'abord notre trio s'en tire avec succès.
Leur amitié fut courte, autant qu'elle était rare.
Le sang les avait joints, l'intérêt les sépare.
L'ambition, l'envie, avec les Consultants
Dans la succession entrent en même temps.
On en vient au partage, on conteste, on chicane.
Le Juge sur cent points tour à tour les condamne.
Créanciers et Voisins reviennent aussitôt ;
Ceux-là sur une erreur, ceux-ci sur un défaut.
Les Frères désunis sont tous d'avis contraire ;
L'un veut s'accommoder, l'autre n'en veut rien faire.
Tous perdirent leur bien, et voulurent trop tard
Profiter de ces dards unis et pris à part.
LA VIEILLE ET LES DEUX SERVANTES
Il était une Vieille ayant deux Chambrières.
Elles filaient si bien que les Soeurs Filandières
Ne faisaient que brouiller au prix de celles-ci.
La Vieille n'avait point de plus pressant souci
Que de distribuer aux Servantes leur tâche.
Dès que Téthis chassait Phébus aux crins dorés ,
Tourets (4) entraient en jeu, fuseaux étaient tirés ;
Deçà, delà, vous en aurez ;
Point de cesse, point de relâche.
Dès que l'aurore, dis-je, en son char remontait,
Un misérable ccoq à point nommé chantait :
Aussitôt notre Vieille, encor plus misérable
S'affublait d'un jupon crasseux et détestable,
Allumait une lampe, et courait droit au lit
Où, de tout leur pouvoir, de tout leur appétit,
Dormaient les deux pauvres servantes.
L'une entr'ouvrait un œil ; l'autre étendait un bras ;
Et toutes deux, très mal contentes,
Disaient entre leurs dents : Maudit Coq tu mourras.
Comme elles l'avaient dit, la bête fut grippée ;
Le Réveille-matin eut la gorge coupée.
Ce meurtre n'amenda nullement leur marché.
Notre Couple au contraire à peine était couché,
Que la Vieille, craignant de laisser passer l'heure,
Courait comme un Lutin par toute sa demeure.
C'est ainsi que le plus souvent,
Quand on pense sortir d'une mauvaise affaire,
On s'enfonce encor plus avant :
Témoin ce Couple et son salaire.
La Vieille, au lieu du coq les fit tomber par là
De Charybde en Scylla
Anciennes publicités.
Jeu de mot a la ...
Quand il s' agit de participer à une cause ,l' ivrogne apporte sa bière à l' édifice.
LE VIEUX CHAT ET LA JEUNE SOURIS
Une jeune Souris, de peu d'expérience,Cimetière des soeurs des Oblates. |
LE VILLAGEOIS ET LE SERPENT
Esope conte qu'un Manant,
Charitable autant que peu sage,
Un jour d'hiver se promenant
A l'entour de son héritage,
Aperçut un Serpent sur la neige étendu,
Transi, gelé, perclus, immobile rendu,
N'ayant pas à vivre un quart d'heure.
Le Villageois le prend, l'emporte en sa demeure;
Et, sans considérer quel sera le loyer
D'une action de ce mérite,
Il l'étend le long du foyer,
Le réchauffe, le ressuscite.
L'animal engourdi sent à peine le chaud,
Que l'âme lui revient avecque la colère.
Il lève un peu la tête et puis siffle aussitôt,
Puis fait un long repli, puis tâche à faire un saut
Contre son bienfaiteur, son sauveur, et son père.
Ingrat, dit le Manant, voilà donc mon salaire ?
Tu mourras. A ces mots, plein d'un juste courroux,
Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête;
Il fait trois serpents de deux coups,
Un tronçon, la queue et la tête.
L'insecte sautillant, cherche à se réunir,
Mais il ne put y parvenir.
Il est bon d'être charitable,
Mais envers qui ? c'est là le point.
Quant aux ingrats, il n'en est point
Qui ne meure enfin misérable.
COCO bOER
Le Coco Boer est une friandise à la réglisse, se présentant sous la forme d'une poudre destinée à être ajoutée à l'eau pour la préparation d'une boisson hygiénique. Il a été créé en 1902 par Jules Courtier, pharmacien au Pouzin en Ardèche. Son nom a été choisi en référence à la guerre des Boers qui alimentait les conversations de l'époque.
La production s'est arrêtée dans les années 1970. Une tentative pour relancer le produit en 1999 n'a pas été poursuivie, car la poudre s'agglomérait assez rapidement.
Depuis fin 2012, Coco Boer est de nouveau commercialisé.
De l'eau de l'air
Du Coco Boer
En toute saison
C'est une saine boisson.
Le Coco Boer est produit à partir des racines de réglisse — rhizomes Glycyrrhiza glabra — racines qui sont broyées, macérées, et le mélange est par la suite déshydraté. Sans aucun ajout de sucre, cette poudre est ensuite parfumée principalement à l'anis. Diluée avec du bicarbonate de soude, elle est commercialisée à des pourcentages de concentrations différents 25 % et 15 %. La présentation commerciale était assurée en boîtes de 1 kg, 500 g et 250 g pour les consommations importantes et en sachets de 50 et 20 g pour utilisations familiales. Pour la confiserie, cette poudre était présentée en boîtes rondes en matière plastique avec couvercles métalliques et multicolores (boîtillards petit modèle et boîtillons grand modèle).
Les petites boîtes des années 1950 étaient tout en métal et difficiles à ouvrir. Le couvercle en couleur laquée était embouti et la marque apparaissait en relief.
La composition officielle du Coco Boer est :
On lit sur les boîtes le conseil ci-dessous :