Anciennes publicités.
Publicités anciennes chaque jour une image de vieilles
réclames : Alimentaire-Automobile – Boisson- Cosmétique ….
À la Belle Jardinière est l'enseigne d'une chaîne de magasins de
confection qui se développa en France au XIXe siècle.
Un mercier de La Cité, Pierre Parissot, établit quai aux Fleurs
(entre la rue de la Cité, la rue du Haut-Moulin et la rue des Marmousets1) en
1824, un commerce de vêtements confectionnés, vendus à prix fixe. L'invention,
par Barthélemy Thimonnier, de la machine à coudre permet à Parissot de
développer considérablement ses affaires.
Le concept de magasin proposant de la confection finie et en série,
à un prix adapté à la nouvelle clientèle des classes moyennes, connaît un grand
succès et le petit magasin de 1824 est à l'origine d'une des premières chaînes
fonctionnant en franchise. L'enseigne regroupe 190 points de vente en 1840 et
322 dans les années 1860. Des établissements scolaires y font faire leurs
uniformes, comme le Collège Stanislas de Paris. Pendant la Première Guerre
mondiale, ils vendent des vêtements militaires aux officiers français et alliés
(publicité).
La Belle Jardinière cesse son activité en 1972, après que M.
Bricard, président-directeur général, l'eut cédée aux frères Willot « La
bande Velepeau » (groupe Agache-Willot) qui ont, dans ce rachat, un
objectif de plus-value immobilière. L'enseigne Conforama, alors propriété du
groupe Agache, remplace rapidement la Belle Jardinière. Par la suite, après les
démêlés financiers et judiciaires des nouveaux propriétaires, les bâtiments de
la rue du Pont-Neuf, qui ont abrité le grand magasin des quais de Seine, sont rachetés par le groupe LVMH Moët
Hennessy Louis Vuitton *, déjà propriétaire de La Samaritaine, et sont toujours
en partie occupés par Conforama ainsi que par les enseignes Darty et Habitat.
*Le gouvernement Fabius de l'époque choisit et finance alors un
jeune polytechnicien lui aussi Roubaisien, Bernard Arnault, qui fondera sur les
ruines de SFFAW (société foncière et financière du groupe Agache-Willot, puis
Financière Agache)
J’ ai deux ou trois souvenirs lointains de la Belle jardinière d’
abord mes grands-parents y allaient et j’ y suis allez avec eux je me souviens bien
de ce magasin de ses odeurs de tissus et ses amoncellements de linges de maison , ensuite mon oncle qui était MC ( maitre de cérémonie ) pour le compte de la Fédération mutualiste de la seine faisait
faire ses costumes a la belle jardinière, par la suite dans les années 1970
avant la fermeture du magasin j’ ai un souvenir professionnel l’ établissement
dans lequel je travaillais gérais une société de crédit qui s’ appelait Inter
caution cette dernière finançait les clients de la Belle jardinière avec des chaînes de billets , je me demande encore aujourd’ hui comment
nous faisions pour gérer cela !
NB le magasin de Nantes est occupé maintenant par Armand Thierry
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